Le Christianisme et le symbole de la Croix


II est drôle, c'est même comique, de voir aujourd'hui tous les chrétiens porter comme symbole du christianisme, comme symbole de leur lien avec Jésus... une croix !

C'est horrible ! Ils portent un instrument de torture et de mort en bijou à leur cou ou sur leur poitrine, ils ornent les murs de leurs maisons de cet instrument, symbole de souffrance et de mort ; ils le mettent même assez souvent au-dessus de leur lit. Par habitude, ils font de la main le geste de la croix avant de prier, de manger, d'entamer un match de foot ou de frapper un penalty !

Cette coutume chrétienne illustre bien, une fois de plus, jusqu'à quel point les chrétiens sont conditionnés ; ils se battent pour des principes, voulant les préserver à tout prix, sans même savoir, ni d'où ils viennent, ni ce qu'ils représentent ; il se battent pour garder des valeurs acquises sans se douter qu'elles ne reposent sur aucune vérité fondamentale.

La croix ne faisait pas partie des symboles utilisés par les premiers chrétiens ; ceux-ci utilisaient différents signes de reconnaissance comme les poissons : deux poissons identiques, la tête de l'un à côté de la queue de l'autre, c'était le symbole de l'ère des poissons, celle qui, commençant au temps de la naissance de Jésus, précéda la nôtre, l'ère du verseau. Les premiers chrétiens avaient aussi d'autres symboles : le berger, la svastika, le phénix, la colombe ou les 2 lettres grecques, Alpha et Oméga (la première et la dernière : le début et la fin). Tous ces signes étaient - et sont toujours - nettement différents de cet horrible symbole de souffrance et de mort qu'est la croix de la crucifixion !

L'Eglise catholique et derrière elle une masse de chrétiens moutons suiveurs, ont adopté le symbole de la croix quatre siècles après que Jésus ne fût mis à mort par crucifixion. Eh oui, quatre siècles, 400 ans après la mort de Jésus ! D'ailleurs une des premières apparitions de la croix comme emblème de la chrétienté fut son utilisation comme bannière de ralliement par l'armée de Constantin, empereur romain meurtrier et assassin, converti au christianisme et créant ensuite le titre de "Monarque de droit divin" qu'il s'attribua en premier lieu à lui-même. Il employait cette bannière avec croix pendant ses campagnes de guerres et de conversions... par la force, au IVème siècle après J.-C.

Et voici que maintenant, un nombre considérable de chrétiens, ignorants, sont fiers de porter ce symbole ! Ils sont abrutis faute de science, comme le dit la Bible, faute de connaissance, mais on les comprend : ils sont tellement conditionnés... inconsciemment conditionnés ! De ce fait, la croix est devenue pour eux un symbole banalisé issu de la tradition ; elle est machinalement portée par des chrétiens qui vénèrent presque autant l'instrument de ce célèbre homicide que le prophète qui fut crucifié dessus ! Sont-ils seulement conscients que Jésus était "un Prophète", ça c'est vrai... mais pas "le Messie"... ça c'est faux ? Je suis désolé de le leur dire, mais... qu'ils aient pleinement conscience de cette réalité... même après avoir lu avec attention le chapitre 8 de ce livre, je suis loin d'en être convaincu, je sais ce que le conditionnement subi pendant tant d'années, par tant de générations, a fini par ancrer dans l'inconscient individuel et collectif de la plupart d'entre eux !

Cependant tous les africains chrétiens auraient grand intérêt à abandonner ce nouveau genre de superstition, ce serait amplement salutaire pour eux qu'ils prennent conscience que Jésus était un prophète humain, qu'il n'était pas le messie attendu mais qu'il a enseigné l'amour, la compassion, le pardon ; ils pourraient dans une même réflexion prendre conscience aussi qu'étant ce qu'il a été et ce qu'il est encore, vivant là où il vit actuellement, il ne peut que détester être représenté mourant de façon atroce, victime de la stupidité humaine.

Car les chrétiens qui arborent la croix, qui la portent et la vénèrent, continuent à perpétuer cette même stupidité humaine qui a coûté la vie à Jésus ; à preuve, ces mots qu'il adressait à son Père dans les cieux, en lui parlant de ceux qui allaient le crucifier : « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font ». Si les chrétiens d'aujourd'hui savaient ce qu'ils font, ils ne vénéreraient pas cet instrument de supplice par lequel Jésus a été assassiné. Je m'adresse surtout à vous chrétiens africains : si Jésus avait été guillotiné, porteriez-vous une guillotine autour du cou ? Est-ce que vos églises seraient ornées de guillotines et de têtes tranchées ? J'aimerais que, pour une fois, amis africains chrétiens vous fassiez l'effort de réfléchir. .. une bonne fois et une fois pour toute... s'il vous plaît : ré-flé-chis-sez ça ne pourra que vous faire du bien, c'est sûr et certain !

L'enseignement de Jésus allait dans le sens de la vie et du plaisir, et non de la mort et de la souffrance ! Combien de guerres se sont faites et combien de millions d'êtres humains ont-ils été massacrés au nom de cet horrible symbole dont la vue attriste tant Jésus, quand il le voit à votre cou... ou sur une bannière militaire, lorsqu'il regarde notre Terre "du haut du ciel", là où il demeure actuellement ?

Sachant tout ceci, prenant conscience de toute la mascarade à laquelle l'Eglise se livre, comprenant maintenant, en lisant ces lignes, la vaste tromperie dans laquelle elle vous a plongé, vous et tant d'autres comme vous de par le monde entier, pouvez-vous encore continuer à croire tous ses mensonges, à jouer avec elle à ce vilain jeu de dupes ?

Un jour Jésus reviendra, avec Elohim, et avec la quarantaine d'autres prophètes qu'Elohim a envoyés, au fil des siècles, depuis le jour où ses scientifiques et ses artistes ont créé ici sur Terre le premier de nos ancêtres.
C'est écrit qu'il reviendra et c'est rapporté par les traditions de toutes les cultures : il reviendra avec son père Yahvé, avec les autres dieux créateurs extra-terrestres, tels que Lucifer et Satan et aussi en compagnie des autres grands prophètes tels que Osiris, Simon Kimbangu, Kimpa Vita, Simao Toko, Moïse, Bouddha, Mahomet, etc.

Alors, quand ce jour sera arrivé, allez-vous accueillir Jésus avec des images de sa souffrance, de sa mort ? En vous-même, vous le comprenez bien qu'il doit détester la croix ! Comment le rappel de ce qu'il a souffert sur cet instrument de torture pourrait-il lui être agréable ?

Sachez-le - et admettez-le vraiment - selon toutes "les écritures", il est vivant : après sa mort il a été recréé, grâce à un procédé scientifique sophistiqué que nos créateurs qui sont dans les cieux maîtrisent parfaitement depuis longtemps et que nous-mêmes sur terre, à travers les premiers balbutiements techniques de nos chercheurs, nous sommes en train de découvrir à notre tour.

Ce procédé, avec nos mots de débutants, nous l'appelons "clonage", en fait c'est le secret de la vie éternelle, dont Jésus a profité et profite encore, lui, depuis quelques 2 000 ans déjà, car il vit actuellement sur la planète des éternels, dont les "livres sacrés" parlent : la Bible en parle, le Coran aussi et d'autres encore.

Il suffit que les chrétiens relisent avec conscience et intelligence certains passages d'évangile et les "Actes des Apôtres", sans a priori, avec les yeux et le cœur ouverts ; ils comprendront alors que Jésus ne s'est pas réincarné "en esprit" après sa crucifixion, mais plutôt en chair et en os, heureux de partager le repas avec ses propres disciples incrédules. Vous en trouverez un exemple dans l'histoire des Compagnons d'Emmaiïs : Ev. selon Luc, CH. XXIV, 13-16, 30-31, & surtout 36-43. D'ailleurs je reprends ici, simplement, les 2 derniers de ces versets : « Ils lui donnèrent une part de poisson grillé. Il la prit et mangea devant eux ».

C'est assez éloquent me semble-t-il ! C'est de la même façon que Simon Kimbangu apparut encore après sa mort et de la même façon on a pu apercevoir plusieurs Simon Kimbangu en même temps, à différents endroits. A chaque fois il y eut interventions de nos créateurs extraterrestres scientifiques ayant une technologie énormément plus avancée que la nôtre.

Tout véritable admirateur de Jésus, s'il l'aime vraiment, devrait refuser de porter la croix que lui exècre ! N'a-t-il pas assez souffert ? Comment peut-on l'admirer, lui être reconnaissant pour tout ce qu'il nous a apporté de Sagesse et d'enseignements et malgré tout se laisser aller à le faire souffrir à nouveau ?

D'ailleurs, tout véritable "africain" devrait abandonner le christianisme du colonisateur, et retourner à ses traditions religieuses polythéistes dépourvues des lourdeurs mystiques du passé et donc placées sous la lumière de la science d'aujourd'hui et de demain. Tout africain se devrait de chercher qui pourrait bien être en ce moment sur la terre "le Messie" annoncé, et, aussitôt qu'il l'aurait trouvé, se mettre à son service, car si Jésus était sur terre aujourd'hui, lui ne serait pas "un chrétien" soumis aux lois du Vatican, il serait au service de cette personne-là, "le Messie", "le Paraclet" dont il a lui-même plusieurs fois annoncé la venue (ex. : Ev. selon JEAN, CH. XVI, 7).

Je conseille fortement à tous les noirs chrétiens qui adorent le symbole de la croix de relire Isaïe, XLIV, 19-20, non seulement de lire ce passage, mais également de le comprendre avec intelligence :

« II ne reconsidère pas en son cœur, il n 'a ni connaissance, ni intelligence pour dire : "j'en ai brûlé la moitié au feu, j'ai aussi fait cuire sur ses braises du pain ; je rôtis de la viande et je la mange et je tirerai du reste une abomination ! J'adorerai un bout de bois ! ".
il s'attache à de la cendre, son cœur abusé le fait dévier : il ne sauvera pas sa vie et ne dira pas : "N'est-ce pas une duperie que j'ai en main ? »


Grosse erreur « chrétienne », une de plus : faire adorer aux gens un bout de bois ou de métal transformé en croix, en souvenir de Jésus. Une croix n'est pas Jésus, un bout de bois ou de métal croisé ne signifie rien, absolument rien !